Enfin le dîner, ou le déjeuner !
Dans ce restaurant de sushi, une fois n’est pas coutume, mes petits pères Noël ouvrent grand les yeux. Quoi qu’ils observent, ils ne voient rien de connu.
Ils se sont assis au comptoir, un peu gauches, un peu intimidés. Puis, malgré l’ambiance feutrée, ils ont fini par prendre leurs aises, comme à leur habitude.
Ils ont oublié les chefs face à eux, leurs airs toujours absorbés, comme si rien d’autre au monde que leur cuisine n’existait. Parce que sur l’archipel, le sushi reste un art qu’il faut apprendre longtemps (1) : les poissons, la découpe, le riz, les algues.
Voyez la vitrine à poissons et coquillages ! Les chefs préparent ces mets d’exception au rythme des commandes. Qualité et fraîcheur assurée !
Mes petits pères Noël trinquent avec une bière bien fraîche. « Kanpai ! » Etrangement, il n’existe pas de meilleur accompagnement.

- Il faudrait environ dix ans d’apprentissage pour devenir maître sushi.
Miam ! des sushis made in Japan, ou des ramen….bon j’arrête car j’en ai l’eau à la bouche rien que d’y penser ! Ils sont chanceux ces petits pères noël !
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😂😂😂
Tu vois, dans la précédente version de ce billet, c’était exactement ma conclusion : « Ils ont de la chance mes petits pères Noël ».
En trois ans, je ne suis allée qu’une fois dans un restaurant traditionnel de sushis… sans compter bien sûr celui plus moderne à Shibuya (commande sur tablette et livraison sur tapis roulant) 😉
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