Mes petits pères Noël n’échappent pas à l’une des vues les plus célèbres de l’archipel.
Le mal qu’il faut se donner et la chance qu’il faut promener avec soi pour une image comme celle-là :
1. Arriver à la saison fragile des cerisiers en fleurs.
2. Guetter les caprices du temps afin d’admirer Fuji-san entièrement.
3. Se lever de bon matin ou faire la queue derrière les photographes un à un.
4. Découvrir le meilleur alignement.
5. Composer avec la position du soleil.
6. Éviter de croiser l’ours qui se promène au sommet (2). On déchiffre une simple affiche et on ne semble pas en faire des nœuds ou tout un plat (3).
Mes petits pères Noël admirent la vue depuis la pagode Chureito interdite au public (4). Eux profitent d’une chance réellement inouïe.


- Voir l’article Les leçons à Chureito.
- The latest threat to Tokyo’s Games? An elusive brown bear, The Washington Post, 21 juillet 2021
- Seeking balance with the bear, nippon.com, 1er février 2018 : « La population d’ours noirs au Japon est estimée entre 15 000 et 20 000. […] Il a été suggéré que les estimations de population sont trop faibles et qu’il y a en fait beaucoup plus d’ours au Japon. »
- La pagode Chureito est un monument appartenant au sanctuaire Arakura Sengen, situé à Fujiyoshida, dans la préfecture de Yamanashi.
Le cadre est parfait, c’est certain… Mais les cerisiers en fleurs… Ne seraient-ils pas un peu retard les Pères-Noël ?!
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Oui oui oui… Quelque chose cloche… Assurément ! Bises
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Magnifique vue en effet !
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Il me semble que tu possèdes un puzzle de cette vue-là 😉
Bises
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